Avec une sorte de satisfaction d’œuvrer pour le bien commun : le eLearning est bon pour elle !
Comment en douter : moins de déplacements (voiture, avion…), diminution de l’empreinte CO2, économie de pétrole…
Et puis : le eLearning n’a pas son pareil pour sensibiliser massivement aux principes et aux gestes du développement durable. Au point qu’on ne compte plus les projets de contenus eLearning, sur étagère ou sur mesure, qui traitent de ce thème…
Séduisante convergence : le eLearning à la fois comme moyen de former au DD et comme incarnation de cet effort !
Quelques chiffres à verser au débat : les serveurs informatiques représentent 0,6% de la consommation électrique aux USA (1,2% avec les équipements d'infrastructure et de refroidissement, ramené à 0,8% au plan mondial) ; entre 2000 et 2005 la consommation d'énergie par l'informatique a doublé.
Cette étude de Jonathan Kome (Lawrence Berkeley National Laboratory) date de 3 ans : il est vraisemblable que la situation ne s’est pas améliorée depuis…
Pour se souvenir – au moment où l’on va remplacer une partie du présentiel par de la formation à distance, au motif (secondaire) d’épargner la nature – que le bilan énergétique du eLearning reste à faire dans son utilisation des serveurs, postes clients, infrastructure…
Michel Diaz